Cette conférence annuelle, à laquelle participent des représentantes et représentants des parlements de Suisse, d’Allemagne, d’Autriche, du Liechtenstein, du Luxembourg et de la Communauté germanophone de Belgique, a été lancée en 2016 par Norbert Lammert, qui était alors président du Bundestag allemand. Consacrée cette année à la thématique « Utilisation de l’intelligence artificielle : bénédiction ou malédiction ? », elle a eu lieu à Duisbourg, la ville d’origine de la présidente du Bundestag allemand, qui recevait ses homologues pour l’occasion.
Les participantes et participants ont échangé sur les chances et les risques de l’intelligence artificielle ainsi que sur les développements actuels dans le domaine de la politique étrangère. En marge de la conférence, ils ont notamment été reçus par le maire de la ville de Duisbourg et ont visité l’usine sidérurgique Krupp Mannesmann ainsi que le port de Duisbourg.
Ont participé à la conférence – outre la présidente du Bundestag allemand, Bärbel Bas – le président du Conseil national, Eric Nussbaumer, le président du Conseil national autrichien, Wolfgang Sobotka, le président de la Chambre des députés du Grand-Duché de Luxembourg, Fernand Etgen, le président du Landtag de la Principauté de Liechtenstein, Albert Frick, et la présidente du Parlement de la Communauté germanophone de Belgique, Patricia Creutz-Vilvoy.
Livre d’or de la 7e Conférence des présidentes et présidents des parlements des pays germanophones tenue à Duisbourg, en Allemagne. ©DBT/Tobias Koch
Les participantes et participants à la conférence signent le livre d’or. ©DBT/Tobias Koch
Les présidentes et présidents donnent le point de vue des parlements des pays germanophones lors des discussions tenues à l’Hôtel de ville de Duisbourg sur des défis de politique extérieure. ©DBT/Tobias Koch
Le président du Conseil national, Eric Nussbaumer, et la présidente du Bundestag allemand, Bärbel Bas, hôtesse de la conférence. ©DBT/Tobias Koch