"On sait que d'agriculture de montagne est difficile et ne rapporte pas beaucoup", a relevé la conseillère fédérale Doris Leuthard. C'est pourquoi il y a de nombreuses mesures de soutien pour ce secteur.
Lorsque des terres sont abandonnées, c'est plus un problème structurel qu'un problème de loup, selon elle. En outre, un tel recensement lui paraît onéreux pour l'administration fédérale. En vain.